Dans un grand champ d'OSB

Avec l’habitude, parfois on oublie que cette maison est tout de même sacrément grande. On s’en rappelle bien vite quand il s’agît de foutre un plancher sur – presque – toute la surface. Ces deux derniers week-ends ont été consacrés à la face supérieure de l’enveloppe isolante, et c’est encore une très bonne chose de faite.

Comme prévu, on a de l'espace de stockage...

Boum, 130 mètres carrés de plancher OSB d’un seul tenant, mais avec tout de même quelques découpes un peu chiantes, parce qu’un enfoiré d’architecte a été nous mettre des colonnes rondes qui ne sont pas vraiment rondes, et puis que comme on a tout de même envie d’accéder à notre grenier, il a fallu se fendre d’une belle trémie d’escalier, seul « trou » avec le passage de cheminée.

Vue depuis le pignon sud

L’OSB, c’est rigolo au début, parce que ça avance vite et que la différence visuelle est rapidement spectaculaire. Puis c’est comme tout : à un moment, on se lasse d’être à genoux, accroupi, debout, re-à-genoux, re-debout,… et qu’en plus, toute cette gymnastique au sol n’est pas super bonne pour le dos.

Dimanche, c’est boulot au finish (fin du combat à presque 22h) et les dernières lignes de panneaux s’emboîtent pour la touche finale de notre futur terrain de Mölkky d’hiver.

Moi je trouve qu'il en jette notre grenier...

Au programme de la semaine prochaine : LE mariage en Italie, quelques grasses matinées, des amis, des rires et de la musique pour se changer les idées avant d’attaquer l’espace famille, la porte de la cuisine, puis les sempiternelles cloisons…

Mais bon, je suis pas objectif