vendredi 29 août 2014

Instoutenable légereté…

Mardi soir (le 26 août donc), j’ai enfin eu fini de coffrer la tête du mur de refend côté voisin, dans un infernal slalom entre les averses, les draches et les douches qui ponctuent ces journées  bruineuses de début de semaine. Franchement, on est pas aidés.

Mercredi donc, nous sommes à pied d’œuvre avec une misson du jour : Couler la ceinture béton qui accueillera la poutre de connexion entre les deux parties de refend ainsi que les gîtages du grenier. C’est pas la première fois que je coule du béton, donc je sais combien ça pèse, mais quand il s’agît de le faire au grenier, c’est encore une autre paire de manches.

Pelleter, verser du ciment dans la bétonnière, charrier les brouettes, monter les seaux à la corde à poulies, puis monter sur l’escabelle avec un seau lourd comme un humoriste sur le déclin, ça use. Surtout qu’on fait ça pendant un bon 5h. Jo m’aide comme elle peut, entre deux tétées et trois tentatives d’endormissement de Milo. Mais de toute façon, le gros œuvre, c’est vraiment un truc de barbares. Tout est lourd à crever, et ce n’est pas le boulot dans lequel elle s’épanouit le plus…

Vers 16h, on vient enfin à bout de notre stock de ciment, et nous sommes – Ô malheur – contraints à l’abandon. Pas vraiment en fait, parce que les voisins ont plein de ciment à prêter, mais j’en ai à peu près autant dans les bottes, et il est temps d’arrêter avant de se faire mal. Samedi, on finit ce truc et on s’attelle un peu à l’évacuation des bricaillons qui s’amassent un peu partout sur le chantier et dont il devient urgent de s’occuper. Quelques photos sans doute… un peu plus tard.

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